Le traitement par le lithium s’accompagne d’une diminution de la fonction rénale, d’une hypothyroïdie et d’une hypercalcémie. Les femmes de moins de 60 ans et les personnes présentant des concentrations de lithium plus élevées que la médiane sont exposées au risque le plus élevé. C’est ce que suggère une étude publiée dans the Lancet.
Une étude récemment publiée (1) par des chercheurs en épidémiologie de l’université de Tampa (Floride) tend à prouver qu’un génotype particulier permettrait de prédire la sensation de bonheur, du moins chez les femmes. Ceci rentre dans le cadre de la recherche concernant les facteurs associés avec le bonheur humain. De premières études chez des jumeaux estimaient que les facteurs génétiques y interviendraient pour environ 35 à 50% (2)!
Dans ce texte, nous aborderons la pathologie psychologique précoce du nourrisson et du jeune enfant, qui est souvent mal connue. Elle est pourtant fondamentale à diagnostiquer vu l’évolution grave qu’elle peut avoir et vu les possibilités de traitement très intéressantes et rapidement efficaces dont on dispose à cet âge.
Une naissance plus précoce, bien qu’à terme, peut être un facteur à considérer pour identifier les enfants à risque de moins bons résultats scolaires.
Chez les enfants âgés de 9 à 12 ans, le traitement stimulant précoce réduit le risque de moins bons résultats en mathématiques.
Le diagnostic prénatal de la TGV est associé à de meilleurs scores neurocognitifs. Le moment du diagnostic peut influencer le développement des premières habiletés cognitives complexes telles que les fonctions d’exécution.
A Paris, des chercheurs de l’Inserm et du CNRS au sein de l’Unité 960 (Laboratoire de Neurosciences Cognitives) viennent de mettre en évidence qu’une seule anomalie dans le cortex auditif pourrait être à l’origine des trois principales expressions cliniques de la dyslexie: les difficultés à manipuler mentalement des sons de parole, les difficultés à mémoriser à court terme (capacité à répéter une liste de mots par exemple), le ralentissement de la capacité de nommer rapidement des séries d’images.
Selon ce neuropsychiatre bien connu, auteur de nombreux livres à succès sur la résilience, toujours aussi passionnant à écouter, le honteux aspire à parler. Il voudrait bien dire ce qui le ronge dans son for intérieur, intimement, mais est prisonnier de son langage muet qu’il ne peut dire tant il craint le regard des autres et leurs réactions qui s’apparentent inévitablement à ses yeux soit à de la méchanceté, soit à de la moquerie, voire du mépris. «Il croit qu’il va mourir de dire» – et c’est précisément le titre de son dernier ouvrage – et alors il raconte l’histoire d’un autre qui, comme lui, a connu un fracas incroyable. Entretien exclusif avec le Dr Boris Cyrulnik.
Les enfants ayant des problèmes dentaires ont plus de difficultés à l'école et sont plus susceptibles de se sentir inutiles ou inférieurs, timides et malheureux ou déprimés que les enfants sans problèmes dentaires.
Une étude longitudinale de cohorte (à partir d’une banque de données via l’étude E-Risk réunissant 1.116 paires de jumeaux nés en 1994-95 au Royaume-Uni), s’est intéressée aux 62 enfants de 12 ans qui y ont démontré une automutilation. Ceux-ci représentent 2,9% de la population étudiée, ce qui n’est pas négligeable...
Neurone Vol. 30 N° 1
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