Il semble que l’échelle DLQI (Dermatology Life Quality Index) ne permette pas d’évaluer avec suffisamment de précision l’impact du psoriasis en termes d’anxiété et de dépression.
La présence de biais d’attention est bien établie dans les troubles anxieux. Sont-ils de simples conséquences symptomatiques de ces désordres? Non, tout indique aujourd’hui qu’ils contribuent activement à leur développement et à leur maintien. C’est ce que nous explique Alexandre Heeren, chercheur postdoctoral à l’Université Harvard...
Neurone Vol. 30 N° 1
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