Agé de 38 ans, et porteur, comme sa mère, d'un gène défectueux lui conférant un risque de 50% de développer la maladie de Parkinson endéans les 10 années à venir, Sergey Brin a commencé à soutenir la recherche dans ce domaine en 2005. Il vient d'octroyer de nouveaux financements...
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