Si plusieurs nouveaux traitements semblent avoir fait leur trou (le ravulizumab en cas de AQP4+ NMOSD, le rozanoxilizumab en cas de myasthenia gravis généralisée), d’autres tels le natalizumab, pourraient retrouver une deuxième jeunesse grâce à un dosage moins à risque (étude NOVA). Parallèlement, le vaccin contre le SARS-CoV-2 est efficace en cas de SEP traitée par ozanimod. Les techniques évoluent également, comme c’est le cas pour la craniotomie en état d’éveil pour les malformations vasculaires cérébrales. Mais le fondamental trouve également sa place, comme le montre une étude louvaniste sur l’importance du microbiote sur le risque de dégradation d’une SEP.