Echos de l'ECTRIMS 2015

07.10.2015 au 10.10.2015
Echos de l'ECTRIMS 2015

Le 31st Congress of the European Committee for Treatment and Research in Multiple Sclerosis (ECTRIMS) s'est tenu à Barcelone du 7 au 10 octobre 2015.

 

Quelques temps forts.

Compte-rendus du congrès

Echos de l'ECTRIMS 2015

Allonger l’intervalle entre deux perfusions de natalizumab chez les patients séropositifs pour le virus JC: une bonne idée?

  • 22 octobre 2015

On connaît les risques de leucoencéphalite multifocale progressive (LEMP) lorsque des patients séropositifs pour le virus JC reçoivent du natalizumab, un risque qu’un suivi post-marketing de 49 à 72 mois estime à 6/1000 et qui s’élève à 13/1000 lorsqu’ils ont reçu précédemment un immunosuppresseur. C’est donc en toute logique que plusieurs équipes ont tenté diverses formules d’allongement du délai entre deux perfusions...

Echos de l'ECTRIMS 2015

Arrêter un traitement en cas de stabilisation d’une SEP n’offre pas de risque supplémentaire

  • 22 octobre 2015

Plusieurs cliniciens auraient tendance à arrêter les traitements de leurs patients souffrant de SEP lorsqu’ils sont bien stabilisés, mais n’osent le faire par manque de données probantes sur l’innocuité de cette attitude...

Echos de l'ECTRIMS 2015

Connaître les risques thérapeutiques pour mieux les anticiper

  • 22 octobre 2015

Mieux qu’un long discours, les 5 figures en annexe rappellent les recommandations de prise en charge des patients SEP avec les nouveaux traitements: avant de les proposer, au début du traitement, pendant le traitement, et après l’arrêt. Présentées par Per Soelberg Sorensen (Copenhague), elles sont le fruit d’un parcours de la littérature et des précautions reconnues par l’EMEA ainsi que des données fournies par le résumé des caractéristiques cliniques des produits mentionnés...

Echos de l'ECTRIMS 2015

Stimuler la mélatonine pour réduire l’activité de la sclérose en plaques?

  • 22 octobre 2015

Les relations entre hypovitaminose D et sclérose en plaques sont connues. Cependant, alors que l’on pourrait s’attendre à ce que la maladie soit plus active durant l’automne et l’hiver, c’est l’inverse que l’on constate. Il existe donc d’autres acteurs dans la saisonnalité des rechutes...

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