Echos de l'ECNP 2013 (Barcelone, 5-9 octobre 2013).
The multidimensional perspective of bipolar I disorder. Satellite symposium on the occasion of the 26th ECNP congress with educational financial support provided by Lundbeck. Barcelone, 7 octobre 2013 Les épisodes de manie ou de dépression accompagnés de symptômes appartenant à l’autre polarité sont plus difficiles à diagnostiquer et à prendre en charge que les épisodes «purs» de manie ou de dépression. Cependant, ces épisodes «à caractéristique mixte», comme les dénomme à présent le DSM-5, sont fréquents et représentent un véritable défi thérapeutique pour le clinicien, tant pour le traitement aigu que le traitement à long terme. Les antipsychotiques ont démontré leur efficacité en cas d’épisode «pur», ce qui n’a que rarement été le cas pour les épisodes mixtes. L’asénapine (Sycrest®, Lundbeck) a cependant montré un potentiel intéressant en cas de symptômes dépressifs lors d’un épisode maniaque. Published ahead of print.
Bipolar disorder: the evolving story, satellite symposium held at the 26th ECNP, Barcelona, with an educational financial support provided by AstraZeneca La présence de comorbidités est la règle plutôt que l’exception dans les troubles bipolaires, l’une des affections psychiatriques les plus susceptibles de comporter des troubles cognitifs, l’une de celles qui entraîne le plus de décès, notamment du fait d’un syndrome métabolique fréquemment associé (20-66% des cas). Le DSM5, récemment publié, fait aussi état de la présence extrêmement fréquente de symptômes sous-syndromiques, qui confèrent un caractère mixte aux épisodes maniaques du trouble bipolaire. Comment appréhender la composante dépressive au quotidien? L’avis d’un panel d’experts réunis à l’occasion d’un symposium satellite de l’ECNP portant le label CME (Continuing Medical Education) sur la place des antipsychotiques en général et de la quetiapine en particulier. Published ahead of print.
Le Dr Jocelyne Caboche (Université Paris 6) a, en collaboration avec Peter Van Houtte, analysé les mécanismes fondamentaux qui mènent à l'addiction. La responsabilité de la voie MAPKinase ERK semble clairement imputable au point d'en faire une cible thérapeutique potentielle. Explications.
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