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24th European college of neuropsychopharmacology (ECNP)

03.09.2011 au 07.09.2011
24th European college of neuropsychopharmacology (ECNP)

Faut-il continuer à dissocier ces deux disciplines? Ou parler plutôt de neuropsychologie et de psychiatrie biologique? Voire d’évoquer le terme de neurosciences pour expliquer les progrès majeurs que l’on a connus ces dernières années? C’est vers cette manière d’appréhender le cerveau que se dirige l’ECNP comme le signalait Joseph Zohar (Tel Aviv), président de l’European College of NeuroPsychopharmacology, lors de son discours d’ouverture de ce qui est aujourd’hui le plus grand congrès européen dans ce domaine. Morceaux choisis.

Compte-rendus du congrès

24th European college of neuropsychopharmacology (ECNP)

Cannabis et sexe: un rôle manifeste… chez le rat

  • 23 septembre 2011

L’influence du sexe, et en particulier des hormones gonadiques, semble manifeste dans le développement d’une addiction. Chez le rat, du moins, on a pu observer que les femelles développent. Une explication de ce constat pourrait résider dans …

24th European college of neuropsychopharmacology (ECNP)

De l’influence des neurostéroïdes sur les psychoses

  • 23 septembre 2011

Certains se rappellent peut-être encore que les androgènes étaient utilisés pour le traitement de la schizophrénie avant l’avènement des antipsychotiques, du fait notamment d’un effet discret, mais réel, …

24th European college of neuropsychopharmacology (ECNP)

Ecstasy: Dr Jekyll et Mister Hyde ?

  • 23 septembre 2011

Que répondre aux amateurs d’ecstasy lorsqu’ils retrouvent dans la littérature des articles mentionnant l’accroissement de la sociabilité de ceux qui recourent à la MDMA? Faut-il évoquer le fait que cette sociabilité est de façade car plutôt liée à une perte de reconnaissance des signaux faciaux émotionnels négatifs? Ou leur rappeler la très haute prévalence des affections psychiatriques chez les consommateurs d’ecstasy?  "La réponse n’est pas simple, et …

24th European college of neuropsychopharmacology (ECNP)

Parkinson et dépression: les occasions manquées

  • 23 septembre 2011

Il est difficile de dire si la bouteille est à moitié vide ou à moitié pleine quand on parcourt les données épidémiologiques sur la prévalence de la dépression dans la maladie de Parkinson. Cette dernière est certes plus fréquente que dans la population générale: 17% de dépressions majeures, 22% de dépressions mineures, 13% de dysthymies et 35% de symptômes de type dépressif dans la maladie de Parkinson. Cependant, en dépit de sa fréquence, cette maladie considérée comme un ‘simple symptôme non moteur’ reste peu étudiée et sous-traitée. Un travail du GEPAD suggère toutefois que la dépression serait plus souvent traitée (42,3%) que l’anxiété (16%).

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