Selon une équipe soignante de New York, l’effet protecteur d'une intervention précoce sur le pronostic de schizophrénie lors d’une première psychose serait une conséquence d’un biais, plus qu’un effet réel. Telle est du moins la conclusion avancée par cette équipe sur la base des...
Vous souhaitez continuer à lire cet article ?
L'accès à la totalité de l'article est réservé aux professionnels de la santé.
Si vous êtes un professionnel de la santé vous devez vous connecter ou vous inscrire gratuitement sur notre site pour accéder à la totalité de notre contenu.
Si vous êtes journaliste ou si vous souhaitez nous informer écrivez-nous à redaction@rmnet.be.